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    PHOTO PERSO


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  • Il a morflé le chanteur...

    Cette chanson est plutôt sympa.


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  • Autour de moi, quand un ami approche de l’heure fatidique de la retraite, c’est panique à bord.

    Des heures à faire des calculs, à relire les chiffres, à tenter d’imaginer vivre, ou plutôt survivre avec 1.000 ou 1.500 euros de retraite.

    Dans le meilleur des cas…

    Et de se dire qu’avec si peu de retraite, il faudra faire pas mal de sacrifices, ne pas aider comme on le souhaiterait les enfants et petits-enfants.

    Toute une vie de labeur avec comme seule perspective de serrer d’un ou deux crans sa ceinture.

    Alors quand tombe une nouvelle comme celle de la retraite dorée de Daniel Bouton, président de la Société Générale
    , c’est un véritable sentiment de révolte qui fait surface.

    En démissionnant de la présidence de la banque
    ,

    Daniel Bouton a pris soin d'écrire aux salariés de la société générale pour leur préciser qu'il ne toucherait aucune indemnité de départ.

    Cette lettre, c’est juste pour la façade.

    Car Daniel Bouton bénéficie d’une superbe retraite dorée.

    Il va ainsi toucher 730.000 euros de retraite par an, selon Libération.

    Et si vous faites bien le calcul, c’est une retraite à 2.000 euros par jour !

    Ce qui, pour le secrétaire général de l’UMP, Xavier Bertrand
    "commence à faire beaucoup…"

    Non, Monsieur Bertrand "ça ne fait pas beaucoup" c’est proprement scandaleux, honteux, provocateur.

    Surtout quand on se souvient que c’est sous la présidence de Daniel Bouton que la Société Générale a perdu 5 milliards avec la fraude de Kerviel et peut-être autant avec des investissements hasardeux si l’on se réfère à l’article de Libération de mardi.

    La conclusion, je la laisse à cette jeune femme lisant son quotidien régional ce matin, au comptoir d’un bar : "Moi si je fais une connerie de 100 euros dans ma caisse, je pointe au chômage. Eux quand ils font des conneries de plusieurs milliards, ils partent avec la caisse."

    Source Libération


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